• Conception T355

    Ci-dessous, les choix de conception adoptés pour cette réalisation, très orientée voyage en avion. Ils sont commentés d'explications.

    Par ailleurs ils sont présentés dans un ordre logique et qui peut être suivi pour la fabrication de tout autre instrument de type Dobson.

    Si la logique des questions de conception reste immuable, les choix qui en résultent peuvent bien sûr différer suivant les préférences de l'observateur.

  • Diamètre 355 pour rentrer en bagage cabine.

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  • Je prends le secondaire standard vendu avec le primaire soit un miroir de 75mm de petit axe et 106mm de grand axe.

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  • Le but du tracé optique est de placer correctement les éléments optiques (miroirs primaire, secondaire et oculaires), afin de pouvoir faire la mise au point et de conférer les propriétés optiques souhaitées à l'instrument.

    Le premier choix à faire est certainement celui du champ maxi d’observation souhaité et donc de l’oculaire de plus longue focale utilisé. Ce sera très certainement l’oculaire le plus lourd, bien souvent le plus cher et aussi de plus grand coulant.

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  • On y est. Mais le plus dur est fait. Car on a déjà choisi l’oculaire de plus grand champ qui est plus déterminant que tous les autres. En effet, c’est lui qui fixe le diamètre de la cage secondaire, généralement le choix du coulant et le poids maxi de la partie haute, donc la variation maxi de l’équilibre du tube lors d’un changement d’oculaire et par voie de conséquence le diamètre des tourillons.

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  • Pour des raisons de coût, de facilité de mise en œuvre, de rapidité d’approvisionnement et de rapport poids/rigidité, j’ai été amené à faire les choix suivants :

    -Contreplaqué de bouleau pour les tourillons, les côtés de la boîte à miroir et le fond de la valise de soute (appelée flight case).

    -Contreplaqué de peuplier pour le fond de la boîte à miroir.

    -Tubes et tôles d’aluminium rivetées/collées pour la cage et le barillet,

    -Equerres en aluminium pour les coins et montants de la boîte du primaire, du flight case et des équerres de fixation du serrurier,

    -Tubes en carbone pour le serrurier,

    -Rond plein en PVC pour les chapes des tubes,

    -Plaques de PP ondulées (sorte de carton en polypropylène) pour les côtés et le fond du flight case (la valise) ainsi que le couvercle et l’enveloppe de la boîte à miroir.

    - Patins téflon sur Ebony Star (une sorte de formica idéal mais difficile à trouver car plus fabriqué) pour les mouvements en azimut et déclinaison.

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  • Le problème de l’équilibrage sur l’axe de déclinaison est omniprésent lors de la conception et peut se résumer ainsi : quand on enlève l’oculaire pour en changer, le haut du télescope s’allège et le tube veut remonter à la verticale. Quand on met l’oculaire en place, c’est l’inverse, le tube veut piquer du nez. Si le télescope bouge pendant cette opération on perd l’objet visé.

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  • Tout en assurant rigidité pour le secondaire et le PO, la cage doit être la plus légère possible, car le bras de levier créé par le serrurier amplifie chaque gramme situé en haut du télescope.

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  • Pour le bas, le poids est un peu moins critique sauf pour la boîte à miroir qui sert aussi de bagage cabine. C’est concernant la boîte à miroir que j’ai amené une légère innovation par rapport au modèle copié.

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  • Conséquence de la structure légère de la boîte à miroir, les tourillons ne peuvent pas être fixés à la boîte à miroir. Ils doivent l’être au barillet.

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  • Concernant le serrurier, toujours pour des raisons de poids et d’équilibrage, j’ai abandonné les tubes alu, pourtant moins chers, au profit de tubes en carbone. Pour les mêmes raisons, je suis parti sur un concept 6 tubes au lieu de 8.

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  • Je m’inspire sans à priori du barillet 18 points du T400 de voyage de Serge Vieillard.

    La collimation se fait au niveau des deux bras articulés en V, le troisième support étant fixe. Les bras des leviers sont dessinés juste assez longs pour pouvoir dégager les vis de collimation du miroir et ainsi autoriser la pose de rallonges vers le dessus du télescope et qui permettent de faire le réglage de collimation du primaire par l'avant, l'oeil à l'oculaire.

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  • Pour des raisons de compacité et de légèreté le rocker est un flexrocker avec patins téflons sous les assises des tourillons. Au centre, un perçage au diamètre d’un tuyau d’eau en cuivre qui sert de pivot. Une lumière a été ouverte dans la planche de fond du rocker, pour ménager un espace pour le miroir secondaire lors du rangement.

     

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  • J’ai longtemps hésité à me servir du couvercle de la valise pour servir de base. J’aurais ainsi économisé 1kg de base. Mais je n’ai pas voulu prendre le risque que la piste de rotation du rocker soit endommagée lors des manutentions dans les aéroports. D’autant que dans le système du flexrocker la base doit être rigide et géométriquement propre.

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  • J’ai opté pour une araignée en T façon Strock. Mais j’ai fait une araignée utlra-légère en aluminium de 1mm d’épais seulement complètement évidée et tendue. La branche arrière ne pouvant travailler en compression, j’ai décalé la position de la branche principale vers le PO afin de toujours pré-contraindre en tension la branche arrière, en ramenant le miroir secondaire à la bonne distance du PO.

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